Discrimination, finalement positive ou négative ?


Les pratiques anti-discrimination depuis leur apparition ont cherché à supprimer les différences d’embouche ou d’admission sur la base des éléments comme le sexe, la race ou l’origine. Le thème qui va être présenté se base en deux articles, le premier publié dans le nouvel observateur le 5 octobre 2006 dont l’auteur Natacha Tatu nous montre la réalité actuelle des femmes dans la vie professionnelle en Norvège. Le deuxième, écrit par John D. Skrentny, apparu dans le monde diplomatique, mai 2007 qui parle du succès de la valorisation de la diversité.
D’abord, selon Natacha Tatu, la discrimination positive n’a pas toujours été spontanée, dans la Norvège, par exemple, le pays où aujourd’hui, il y a 45% de femmes au parlement et 50% au gouvernement, tour a commencé par une loi imposée.

Skrentny de sa partie précise qu’aux États-Unis, la loi sur les droits civiques, interdit aux employeurs et aux institutions scolaires toute discrimination soit d’embouche ou d’admission liée à la race, la religion ou le sexe. IL partage l’idée que même la discrimination positive reste anachronique.

Bien que la discrimination positive cherche à compenser des injustices, elle est vue par certaines personnes comme une sorte de favoritisme ou de procédure indu, c’est que suggère Skrentny.

Par contre, Tatu Affirme qu’en Norvège loin de paraître affecter la diversité, il y a un état d’esprit et une organisation particulièrement favorable à l’épanouissement des femmes. Selon ses propres mots « …la Norvège combine le taux record d’insertion de femmes dans la vie active et un taux de natalité parmi les plus élevés d’Europe… ».

Pour conclure, l’inclusion et l’égalité commence toujours par être imposée par loi afin de compenser les injustices subies par les minorités. Aujourd’hui il y a des pays comme la Norvège fiers de leurs résultats, cependant, il y a quelques autres qui se demandent si la discrimination positive ne fait pas qu’institutionaliser les différences.

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